DevOps et Continuous Delivery sont les actuels mots à la mode (buzzword pour les anglophones). Après quelques lectures et présentations, certains décideurs se posent la question de l’inflexion vers de telles méthodes. Il faut bien comprendre que derrière ces mots se cache une révision complète des DSI. C’est la fin des fameux silos enfermant chacun dans une mono-tâche technicienne au profit d’un flux automatique organisé par des experts. D’aucuns disent que ce bouleversement est un tsunami, voire un big bang. Il est donc naturel que certains responsables se demandent : Comment opérer à un tel virage vers le Continuous Delivery ?
Cet article orientera vers des perspectives de réponses. Et pour cela, citons d’abord Martin Fowler, un ponte du Continuous Delivery :
You’re doing continuous delivery when:
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Your software is deployable throughout its lifecycle
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Your team prioritizes keeping the software deployable over working on new features
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Anybody can get fast, automated feedback on the production readiness of their systems any time somebody makes a change to them
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You can perform push-button deployments of any version of the software to any environment on demand