L’industrialisation et l’automatisation ont pour objectif de supprimer ces petites mains qu’on a coutume d’appeler une armée de mexicains.
Et en ce jour, je me permets d’honorer la mémoire du Capitaine Danjou, du sous-lieutenant Maudet, porte-drapeau, le sous-lieutenant Jean Vilain, payeur et de leurs hommes de la 3e compagnie du régiment étranger. Ces 62 légionnaires ont tenus tête à 2000 mexicains, clairsemant leur rang de 500 victimes, se battant jusqu’à la dernière cartouche, jusqu’à la charge à la baïonnette.
Ce fut à Camerone. Ce fut le 30 avril 1863. Commémoration.